Fatoumata Diawara
Poussée par Rokia Traoré qui l’encourage aussi à jouer de la guitare, Fatou joue le rôle de Karaba dans la comédie musicale Kirikou et Karaba. Fatou apprend donc la six cordes en autodidacte et commence à écrire des chansons.
C’est là qu’elle comprend que la musique est sa vraie passion et qu’elle décide de s’y consacrer pleinement.
Elle enregistre des maquettes sur lesquelles elle chante et joue tous les instruments. Oumou Sangaré la présente au label World Circuit, l’enregistrement de son premier album peut commencer… Son album Fatou est sorti en octobre 2011.
Ces dernières années, Fatoumata Diawara a continué d’évoluer dans sa carrière en partageant la scène avec de nombreux artistes tels que Mayra Andrade, Omara Portuondo, Oumou Sangaré.
Aujourd’hui, la chanteuse concilie ses concerts solo, avec différents projets tels que la tournée Mali Blues, le projet musical de Matthieu Chedid « M » et sa tourné « Lamomali », avec Toumani et Sidiki Diabate, et son projet « Olympic Café Tour » avec la chanteuse Marocaine Hindi Zahra
Elisapie
Son folk pastoral s’inspire alors des musiques traditionnelles Inuit et d’un blues aride qui séduira sans peine les fans de Valérie June, Alela Diane ou Mirel Wagner. La réalisatrice, chanteuse et activiste a elle aussi compris qu’une bonne chanson – qu’elle soit un folk épuré ou une pop-song lumineusement arrangée – ne peut s’écrire qu’avec les tripes.
Cet album nous hisse donc à des sommets émotionnels à l’écoute du bouleversant « Don’t Make Me Blue », nous plonge dans des abysses de désespoir avec « The Ballad of the Runaway Girl » ou « Rodeo », jusqu’à apercevoir à nouveau la lumière grâce à « Una » ou au sublime « Darkness Bring the Light » (composé avec Joseph Yarmush, le guitariste des excellents Suuns).
On pense parfois à Björk qui viendrait mettre son nez dans la BO de « Into The Wild ». Ou à une Hope Sandoval (la voix sucrée de Mazzy Star) venue du froid.
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