Francesita, flor del boulevard, no te pongas triste que vas a llorar. ¡Y hay que reir para olvidar !
Le tango, c’est une histoire de voyages et de sensualité mais aussi de souffrance. Jeune bandonéoniste virtuose, Louise Jallu offre un intense voyage musical sur les traces des femmes exilées et condamnées a vivre et a mourir dans les maisons-closes d’Argentine. Certaines de ces filles perdues, dont Albert Londres évoque le destin dans Le chemin de Buenos Aires – La traite des blanches, ont donné leurs prénoms à des thèmes emblématiques du tango : Francesita, Gresita, Maria…
Un hommage appuyé au tango le plus pur et à Enrique Delfino, l’un de ses plus authentiques compositeurs.
Si on peut écouter l’album en boucle, c’est une chance de voir ce quartet sur scène. Louise Jallu dirige, discrètement, cette célébration du tango dans la diversité de ses allures, de ses postures et de ses ruptures, les assauts et les larmes, la nostalgie et la conquête – Desmotsdeminuit.fr
En collaboration avec La Ferme de Bel Ebat – Théâtre de Guyancourt
Dans le cadre du Temps des Femmes
Louise Jallu Quartet
Musique Bernard Cavanna, Enrique Delfino, Louise Jallu
Avec Louise Jallu (bandonéon), Grégoire Letouvet (piano), Fiona Monbetr (violon), Alexandre Perrot (contrebasse)
A partir de 10 ans. Durée 1h30